Il existe des possibilités de taille durant de nombreux mois, cela dépend des types de tailles (rajeunissement, formation, fructification…) et de ce que l’on doit tailler.
De manière générale, il faut respecter quelques principes :
Disposer des bons outils pour tailler.
Du simple sécateur aux taille-haies modernes, du coupe-branches à la scie arboricole, de la serpe au sculpte-haies à plusieurs lames, il faut pouvoir tailler franc sans arrachage, il faut se prémunir de tout accident avec des outils aiguisés et lavés (pour vous mais aussi pour les végétaux) donc savoir choisir et entretenir ses outils. Disposer d’un spécialiste de l’outil de jardin capable de conseiller et d’entretenir le matériel de jardin est toujours une bonne chose.
Évaluer l’état des plantes.
Toujours essayer d’avoir une vision générale de ce qu’on veut tailler pour évaluer les besoins, l’état, les comportements du végétal. Se renseigner ou se faire aider (pour les particuliers) par des professionnels pour intervenir à bon escient car une même action de taille peut avoir des conséquences très différentes sur deux végétaux différents.
Connaître la fonction de la taille.
Déterminer les raisons de la taille et les priorités : régénérer, réguler, soigner, produire plus, personnaliser, décorer etc… Cela peut amener à différencier taille en sec (ou en repos) et taille en vert qui ne sont font pas à la même époque. Il faut aussi trouver les bons équilibres entre le fait de rendre la plante plus vigoureuse et de privilégier la floraison.
Quoiqu’il en soit en juin voire en juillet, on peut tailler : taille de la viorne, des cerisiers, des châtaigniers, des figuiers, des pommiers, des poiriers, des arbres de Judée, des asters, des ronces fruitières, de certains rosiers, de la bruyère d’hiver, des chrysanthèmes…